@StrangeAtlas: L'amour rend aveugle, il a cru à une sécurité en mousse, il a rien vu venir. CQFD.
Sinon, concernant les suppositions. Sérieusement, à partir du moment où une théorie n'est pas démentie par Kojima himself on a le droit à des aberrations. Alors ok, c'est tout à l'honneur de ceux qui tentent de discerner le vrai du faux, mais il ne faut pas oublier que les théories comme Chico=Quiet ou Venom Snake=Gray Fox ne font polémique que grâce à leur incohérence. Le seul moyen de les appuyer de preuves, c'est d'utiliser les amalgames fallacieux et les vérités qui arrangent.
@degueulanus: Kojima n'a rien massacré, il a simplement tenté de clore une histoire complexe dont les grandes lignes n'étaient pas écrites à l'avance. S'il avait fallu apporter des précisions sur un seul jeu, la tâche aurait été moins délicate. Comme tu le dis, en plus des exigences liées à son poste additionnées aux contraintes imposées par Konami, cela ne serait jamais arrivé s'il avait eu 10 ans pour écrire MGS4. En revanche, je pense que MGS5 est séparé de la trame qu'il a développé depuis MGS1. Et au vu des trailers, je ressens une toute autre atmosphère que dans les jeux précédents. Dernière précision: les personnages ayant des descendants se ressemblent non pas parce qu'ils sont des prototypes, mais des archétypes. Il faut voir Otacon et Huey non pas comme des clones père/fils mais comme des traitements différents d'un message spirituel. C'est exactement ce qu'il s'est passé si l'on compare Big Boss à Solidus. De plus, il est toujours intéressant de faire l'analyse du père d'un personnage charismatique. Et oui, les protagonistes se font emprisonner très souvent car c'est un des grands axes depuis le premier Metal Gear (objectif principal) et l'histoire de la saga revient toujours et partout à la notion d'évasion.
@John/Big Boss: La grande force de MGS1 c'est qu'il propose d'adapter le thème de l'infiltration à toutes les situations les plus délicates qu'un agent peut rencontrer sur le champ de bataille et d'en dégager un sens riche et très allégorique. C'est sûr, la mise en scène a vieilli et on établira le même constat pour The Phantom Pain dans à peine 10 ans.